Girolamo Forni était un autre de mes - rares à vrai dire - clients bourgeois.
Comme le notaire Cogollo par exemple, pour lequel j'avais étudié une solution similaire en façade. Il fournissait du bois à plusieurs de mes chantiers, comme le Palazzo Chiericati, et était devenu riche. C'était un entrepreneur qui se peignait lui-même, qui collectionnait les antiquités, qui l'a ensuite fondé avec moi, et Vittoria et moi le considérions comme notre ami. C'est donc par amitié que j'ai réaménagé, le peu qu'il fallait, sa maison en une petite villa.